Un cargo exploité par la compagnie maritime japonaise Nippon Yusen (NYK Line) a été saisi par les militants houthis du Yémen dans la mer Rouge.
Le navire, nommé Galaxy Chief, est un navire britannique affrété par Ligne NYK pour le transport d’vehicles.
Comme indiqué, l’équipage de 22 personnes, dont des Bulgares et des Philippins mais aucun Japonais ni Israélien, est confirmé à bord.
Le ministère japonais des Transports et NYK Line confirment activement la sécurité des membres de l’équipage et les détails de l’incident.
Les rebelles Houthis, alliés de Téhéran et soutenus par l’Iran, ont revendiqué la responsabilité de la saisie du navire, affirmant qu’il s’agissait d’un acte visant à cibler les navires affiliés à Israël.
Ils ont déclaré que l’équipage était traité conformément aux principes islamiques.
Cependant, Israël a précisé qu’il n’était aucunement impliqué dans la propriété ou l’exploitation du navire et qu’aucun Israélien n’était à bord.
Israël a qualifié l’incident d’acte de terrorisme iranien, augmentant les tensions et ayant un influence sur la sécurité des routes maritimes mondiales.

Le cargo était en route de la Turquie vers l’Inde, naviguant entre l’Arabie saoudite et le Soudan, selon les derniers signaux reçus.
Les Houthis, intensifiant leur offensive, ont lancé des attaques de missiles et de drones sur Israël en solidarité avec les militants palestiniens du Hamas dans le conflit en cours à Gaza.
Les Houthis soutenus par l’Iran
Le porte-parole des Houthis, Yahya Sarea, a averti que tout navire affilié à Israël serait une cible légitime, soulignant leur engagement dans les opérations contre Israël jusqu’à la fin de l’offensive sur Gaza.
Les principaux médias israéliens suggèrent que la société propriétaire du navire pourrait avoir des liens avec Israël, ce qui pourrait influencer la décision de ciblage des Houthis.
Les rebelles Houthis, largement renforcés par l’Iran, ont intensifié leurs activités dans le mer Rougemenaçant la sécurité de la navigation.
En réponse, les garde-côtes japonais ont émis des avertissements à tous les navires japonais dans la région, et les responsables de la défense japonaise rassemblent davantage d’informations sur l’incident.
La seize de Galaxy Chief, désormais potentiellement une monnaie d’échange dans les négociations, marque une escalade inquiétante de la sécurité maritime régionale.