jeudi, novembre 30, 2023

CRITIQUE : Je veux être heureux (Herald Theatre)



Je veux être heureux est une exploration profondément humaine et souvent surréaliste de l’amour, de la perte et de l’individualité du bonheur.

La pièce go well with Binka, un cobaye dans un centre de exams, merveilleusement réalisé et interprété de manière magistrale par Jennifer Ludlam. Paul est le technicien de laboratoire chargé de s’occuper de Binka, dont le portrait est une masterclass de subtilité de Joel Tobeck. Milo Cawthorne met également à revenue ses compétences considérables en matière de physique, avec un grand succès. Les interprètes font un travail incroyable en échangeant et en hésitant entre différentes caractéristiques. L’histoire est captivante et les dialogues percutants. Carl Bland a créé un monde riche, rempli de personnages nuancés et d’expériences profondément humaines. La mise en scène de Ben Crowder permet au scénario de s’épanouir automotive les motifs et les thèmes récurrents sont bien utilisés tout au lengthy.

Les deux éléments marquants et répétés de la pièce sont les thèmes de la mimesis et de la mauvaise communication. Ceux-ci confèrent une grande cohésion dramatique à la pièce dans son ensemble. L’ensemble est chromé et fait ainsi workplace de miroir. Il y a un miroir des dialogues et des désirs entre les personnages. Le plus impressionnant, cependant, est la mise en miroir du macro et du micro. La pièce divise l’motion entre l’échelle d’un cobaye et l’échelle d’un humain. Il existe de nombreux cas d’objets transcendant ces échelles et devenant soit énormes, soit minuscules. Non seulement c’est visuellement spectaculaire, mais cela contribue également à démontrer le fossé de compréhension entre les deux personnages. Ce manque de compréhension est également présent dans le dialogue. Les personnages parlent souvent à contre-courant, conversant sans jamais attendre d’être compris. C’est une restriction intéressante à imposer au dialogue et crée une state of affairs convaincante pour le public, qui peut comprendre les deux personnages. Plus que tout, les personnages sont unis par leur désir d’être heureux et de tout faire pour atteindre leurs objectifs.

Comme mentionné précédemment, l’ensemble est complexe et extrêmement inventif. La cage du cobaye à taille humaine est particulièrement imposante. Il s’agit d’un spectacle minutieusement conçu et l’effet world est un mélange réussi de caractéristiques « renforcées » et « réalistes ». On ne peut pas sous-estimer à quel level la mise à l’échelle des éléments est étonnante et efficace. Les marionnettes sont également utilisées de manière très impressionnante pour déformer la perspective de la taille. Entre ces nombreux éléments, c’est un spectacle techniquement complexe.

La pièce est une pièce visuellement frappante et bien exécutée. Les éléments constitutifs sont cohérents sur le plan créatif et le sujet suscite la réflexion. Il est difficile de représenter les cobayes et les humains sur la même scène et de se plonger dans les moindres détails de l’expérimentation animale. Cependant, le scénario de Bland et les acteurs relèvent admirablement le défi, et le public se retrouve à réfléchir à des questions plus profondes concernant le bonheur individuel par rapport au bonheur universel.

Je veux être heureux joue au Herald Theatre, Aotea Centre, du 18 août au 2 septembre 2023

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