Stuart Whitman joue dans « Shock Remedy » de 1964. Whitman me rappelle un jeune Colin Farrell ici, dans ce thriller sordide se déroulant dans un sanatorium. |
Traitement de choc fait partie de ces movies « all-star forged in cinema confinement » ! Habituellement présentés comme tirant le rideau sur ce qui se passe réellement derrière les barreaux des prisons/sanatoriums, des movies comme celui-ci étaient en réalité une excuse pour dépeindre le sexe et la violence horribles. Il y a souvent quelqu’un dans le tintement ou dans le nid de coucou qui n’est pas vraiment coupable ou fou. L’appel des stéréotypes ressemble à ceci : le protagoniste qui a été piégé ou qui a des arrière-pensées pour entrer ; la magnifique jeune femme qui est soit frigide, soit nympho ; le fou enfantin; le kind Blanche DuBois, vivant dans la folie des grandeurs ; le affected person apparemment regular qui s’excite en un rien de temps ; et la dure femme responsable. Il manque à celui-ci le jeune homme ou la jeune femme idéaliste qui essaie de changer les choses, automotive Traitement de choc est plus un movie à suspense qu’un exposé du système.
***Alerte spoiler sur les clichés de l’intrigue de ce movie à venir !***
Roddy McDowall a joué le psychiatre à la sensibilité enfantine autant de fois qu’Anthony Perkins. Roddy est Martin, le jardinier gaga qui sait où est caché l’argent ! |
Roddy McDowall est Martin, l’homme-enfant maniaque. Roddy semblait toujours en compétition avec Anthony Perkins pour voir qui pourrait jouer le névrosé le plus excentrique. C’est amusant que Martin ait été libéré de l’asile, où il utilise un de ses outils de jardinage sur son employeur sorcier, et quand il est renvoyé pour l’avoir décapitée, devinez sa thérapie de choix : le jardinage !
Stuart Whitman est l’acteur vedette, Dale Nelson, qui casse dans
au sanatorium, fait semblant d’être fou, puis ne peut pas sortir ! Nelson est embauché par l’avocat successoral de la douairière décapitée pour découvrir où Martin a caché son argent. Les pitreries de Whitman pour convaincre qu’il est fou suggèrent que son personnage a étudié le théâtre à la William Shatner Faculty of Dramatic Arts.
L’acteur de Whitman se fait passer pour un skilled en fleurs pour monter chez McDowall le bon côté du jardinier fou, dans « Shock Remedy » de 1964. |
Whitman a l’air beaucoup plus âgé que 36 ans, surtout face à la poupée de porcelaine Carol Lynley, 22 ans à l’époque. Roddy McDowall avait le même âge que Whitman, mais il avait toujours l’air plutôt enfantin. Stuart Whitman m’a aussi beaucoup rappelé Colin Farrell. Les personnages de Roddy et Stuart se lient au sanatorium autour de fleurs, après une première guerre des roses. Carol Lynley est son moi habituel, pâle et semblable à une poupée, dans le rôle de Cynthia, la névrosée/nympho. Bien sûr, bien qu’il soit un homme chargé d’une mission dans une maison de fous, le personnage de Whitman trouve toujours le temps de poursuivre la miss chaude et froide de Lynley.
Bien que Cynthia de Carol Lynley soit diagnostiquée bipolaire, Dale de Whitman la poursuit. Peut-être le défi de romancer une femme à la fois frigide ET nympho ? |
Lauren Bacall est du style Nurse Ratched, Dr Edwina Beighley, qui passe de froidement efficace à coucou. Le médecin reprend Martin non pas parce qu’elle se soucie de son bien-être, mais parce qu’elle veut savoir où est l’argent. Oui, Edwina de Bacall devient folle lorsqu’elle découvre que son plan financier à propos de Martin n’a servi à rien. Disons simplement que les rêves du médecin pour de grosses sommes d’argent dans la recherche finissent en holocaustes !
Devinez qui dirige ce restaurant ? Lauren Bacall dans le rôle du vif Dr Beighley dans « Shock Remedy » de 1964. |
Edwina de Bacalls est emmenée loin de la scène du crime comme Violet Venable de Kate Hepburn dans Soudain, l’été dernier. Le même personnel du tribunal doit supporter un autre cinglé qui veut plaider sa propre trigger. Le docteur délirant de Bacall se défend à la manière du capitaine Queeg de Bogie, déclamant et giflant les ordinateurs de bureau !
Les rêves de sécurité financière du médecin de Lauren Bacall sont littéralement partis en fumée, dans « Shock Remedy » de 1964. |
La scène finale est amusante, avec Betty se plaignant des heures de facturation, tandis que les autres sufferers regardent, et les stars Whitman et Lynley quittant le nid de coucou, vues de l’autre côté de la clôture. J’adore la salope à facturation constante de Bacall : « Trente et un séparé heures! »
Betty n’était pas assez actrice pour aller au-delà de son personnage pragmatique et sarcastique, même si c’est amusant de la voir essayer. Disons simplement que ce n’était pas le « level culminant » de la carrière de Bacall. Traitement de choc est très caricatural, mais regardable, mais certainement un thriller décaféiné !
Stuart Whitman, Roddy McDowall et Ossie Davis essayaient-ils de paraître optimistes quant aux probabilities au box-office de « Shock Remedy » de 1964 ? |
La photographie de Sam Leavitt est excellente, presque noire. Son travail s’est déroulé de J’aime lucy à Anatomie d’un meurtre, et il a remporté trois nominations aux Oscars. Et le rating de Jerry Goldsmith ajoute à la peur.
Au moins, Stuart Whitman, qui agit de manière extreme, est plus beau sans sa chemise que William Shatner, dans « Shock Remedy » de 1964. |
La qualité qui en résulte Traitement de choc Ce n’est pas la faute du casting, on leur donne des clichés à jouer mais ils font de leur mieux. Le scénario du movie est horrible, un movie « B » glorifié, soutenu par les stars et les valeurs de manufacturing.
Découvrez Lauren Bacall dans un autre effort de cinéma de sanatorium, où elle est art-thérapeute dans les années 1955. La toile d’araignée ici: https://ricksrealreel.blogspot.com/2019/01/its-curtains-for-cobweb-1955.html
C’est un truc bien plus fort que « Excessive Level » dans l’hypodermique du Dr Lauren Bacall, dans « Shock Remedy » de 1964. |